Le CRDMA
Claude Clément Perrot
Un homme exceptionnel, qui commence avec son équipe du centre de recherche et de documentation Médiévales et Archéologiques de Saint Mammès ses recherches, en 1974 en l'église de Fourches.
Passionné, il consacre tout son temps et son énergie à la restauration de monuments anciens. Créé en 1967, le centre de recherche avec l'aide de bénévoles organise des campagnes de fouilles et de restauration, comme le ponceau de villecerf, la restauration d'une cave à Moret sur Loing, l'entretien régulier de la Chapelle de Fourches.
Tout au long de l'année, le centre organise des visites guidées thématiques, ainsi que des conférences dans diverses villes et villages. Le but, est de mieux sensibiliser le public sur notre patrimoine culturel, l'encourager à entreprendre des chantiers de restauration, afin de transmettre aux générations futures, l' héritage précieux de notre histoire.
Images CRDMA-Publication autorisée par C.C.Perrot
Une visite guidée?
Vous souhaitez entreprendre une visite guidée d'un monument ancien, restauré par le Centre de recherche,
Contactez Mr Perrot au 06 66 53 93 56 ou adressez un courrier postal à l’attention du CRDMA, à la mairie de Saint-Mammès.
Mairie de Saint-Mammès
CRDMA
2, rue Grande
77 670 SAINT-MAMMES
Les premiers travaux
"Les premiers travaux entrepris par les membres du CRDMA consistèrent à l'élimination de la végétation luxuriante qui étouffait et disloquait les ruines de la chapelle. Ensuite, on entreprit les travaux de consolidation d'urgence..." Actuellement et régulièrement, les membres du CRDMA continuent les travaux d' entretien de la chapelle et procèdent à des fouilles de fondations des cellules des moines et des caves encore enfouies....
Les bulletins du CRDMA
La pierre à coqueluche
Cette pierre a été déterré au lieu-dit la cave Saint Nicaise. A cette pierre se rattache aussi la tradition d'un trésor confié à la garde du diable du CRDMA, aidé de Christian Pons.
La traversée de Moret a suscité beaucoup d'interrogations de la part des passants. Connue sous le nom de pierre à coqueluche, ce bloc fut repéré dans les années 1960 par Maxime Bonhomme qui la sauva des pelles mécaniques et la mit dans son jardin.
Seules les anciennes générations se rappellent le pouvoir guérisseur que l'on attribuait à une pierre qui permettait de guerrir ou de protéger les enfants contre la coqueluche, soigner les maladies des yeux.